Particules élément’Air(es)

Inspirez… Expirez…

Sans s’en soucier outre mesure dans notre quotidien (hormis les alertes « pollution » émises par les autorités), nous sommes pourtant tous tributaires de la qualité de l’air que nous respirons. Les impacts sur la santé et l’environnement sont significatifs, qu’ils relèvent de la pollution atmosphérique ou la pollution de l’air intérieur.

La mesure expérimentale de la qualité de l’air (température, humidité, particules fines, etc.) est accessible au grand public, à partir de quelques composants électroniques et recherches sur Internet.

Un atelier de découverte

C’est par l’intervention de Norbert (du réseau LabFab de Rennes), sur le modèle des ateliers « Ambassad’Air » de la MCE de Rennes, que nous avons découvert le projet Sensor.Community.

Au delà du montage électronique (microcontrôleur ESP8266 et capteur de particules SDS011), nous avons expérimenté un pan des sciences participatives à travers les outils de Sensor.Community (données contributives, cartographie et tableaux de bord).

Depuis, quelques adhérents de MakerSpace56 ont créé un groupe « Capteurs et Météo » pour comprendre, appliquer et promouvoir les finalités de ce projet.

 

Les capteurs de MS56.

Après avoir exploré plusieurs pistes autour des mesures environnementales (température, pression, polluants, etc.), le groupe « Capteurs et Météo » a proposé à une dizaine d’adhérents de construire et d’installer leur propre capteur de particules. A ce jour six stations viennent enrichir de leurs mesures la base de donnée contributive.

 

MakerSpace56 est identifiée comme « communauté locale » du projet Sensor.Community pour assister tout un chacun dans la mise en œuvre de son capteur.

Assemblez… Mesurez… Partagez…

Cette expérience nous a permis d’être sensibilisés à cette thématique environnementale, et contributeurs d’un projet citoyen. Nous en retenons plusieurs aspects :

  • la mise en œuvre d’un outil de mesure « fait maison » (DIY – Do It Yourself)
  • la collecte de mesures « de proximité »
  • l’ouverture aux projets « libres » et collaboratifs (open-source et open-data)
  • l’acculturation aux enjeux environnement / santé

 

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