OTTO le Petit Robot

C’est l’histoire d’OTTO le petit robot (Un projet open source et DIY) que nous allons vous conter a présent.

Il y a bien longtemps dans les pensées lointaines, trèèèès lointaines d’un rédacteur un peu a l’ouest, germa l’idée d’un OTTOmate OTTOnome.
https://www.ottodiy.com/

Otto voulait exister. Pour cela il avait besoin de braves gens qui avaient envie de programmer(). Ces braves gens, il y en avait justement des tas au fablab du pays de Vannes, et ils commencèrent bientôt à se donner rendez-vous chaque jeudi pour apprendre ensemble la programmation().

Otto était doté de plein de supers pouvoirs qui faisaient de lui un parfait petit projet pour s’initier à Arduino :

• 4 servomoteurs pour se déplacer avec grâce ;
• 1 matrice led 8×8 en guise de bouche ;
• 1 buzzer piézoélectrique actif pour donner de la voix ;
• 1 capteur à ultrasons pour éviter les obstacles ;

… et aussi 1 communication Bluetooth pour faire ce qu’on lui dit de faire là où on lui dit de faire, car ça reste un pu#@&*! de robot !

Un Otto regarde un Otto scalpé, et prend soudainement conscience de sa condition de robot.

Et c’est en un jeudi de l’an de grâce 2018 que Otto naquit par le biais d’un extrudeur chauffé a 190°.

Après une première impression réussie, Otto fit une première impression ratée,… car sa tête était trop petite et ne pouvait pas recevoir tous les composants qui le feraient s’animer!

Une tête plus ajustée, fût donc imprimée.

Ce fut le début d’une suite inattendue de péripéties cérébrales…

Pour faire s’animer Otto, il fallait d’abord se mettre d’accord sur le modèle sur lequel se reposer, car les déclinaisons étaient nombreuses. Zowi, son parent le plus proche, nous faisait coucou du haut de sa montagne inatteignable, car trop payante.

Alors pourquoi Otto ?

D’abord car il a bon cœur : 1 Arduino nano. Ensuite, parce-qu’il a un shield (pour nano), bien pratique pour brancher la multitude de composants. En même temps vous me direz « une fois qu’il est monté, on va pas le débrancher tous les 4 matins ». Pas faux.

Toujours est -il qu’ entre les installations de drivers de #bni@(§èé, les cables branchés sur les fausses bonnes pins, les différentes versions de P&@#!!, et les ports COM que l’ont voit (mais que l’on ne sélectionne pas), les fils croisés à la c#&@, les rx/tx inversés, les librairies plus ou moins compatibles, … sans parler du code d’Otto, qui sature quasiment la mémoire flash du nano, et les versions « made in Makerspace56« , qui faisaient fumer le tout…

…il en aura fallu du temps pour trouver le chemin vers le graal : une danse, un bip, une danse, un bip, une danse, un bip…


Cette histoire aura permis en tout cas aux plus novices et aux plus téméraires d’entre nous d’élargir nos connaissances. 
Aujourd’hui il nous reste à mieux le comprendre et l’autopsier au plus près, même si c’est bon, tout le monde peut déjà piloter son Otto OTTOnome depuis son téléphone par Bluetooth …,L’histoire n’est pas finie mais on va tout faire pour qu’ils vivent heureux avec beaucoup d’enfants !

 

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